PERIAL AM annonce de fortes chutes du prix de ses parts de SCPI
La revalorisation des biens immobiliers détenus via les SCPI PERIAL pousse les prix des parts à la baisse.
Publié le par à 0 h 0
Toutes durées confondues, les taux des prêts du secteur concurrentiel ont atteint 1,43% le mois dernier, comme en août et septembre, rapporte dans un communiqué l’observatoire de l’institut CSA et du Crédit Logement, organisme comprenant les principales banques françaises parmi ses actionnaires.
"Les taux des crédits immobiliers sont stabilisés depuis juin dernier", résume l’observatoire, soulignant que "les établissements bancaires n’ont donc pas amélioré leurs offres commerciales" à la rentrée comme c’est la tendance à cette saison.
Les taux ont régulièrement baissé au cours du premier semestre 2018, se rapprochant de leur plancher touché en 2016 à guère plus de 1,30%, puis ont peu bougé depuis le début de l’été.
Reste que la hausse des prix a, elle, accéléré ces derniers mois en France : en la prenant en compte, le niveau "réel" des taux est négatif, revenant théoriquement à dire qu’il est possible de gagner du pouvoir d’achat en s’endettant pour un achat immobilier.
Avec une inflation à 2,2% en octobre, "les taux d’intérêt réels qui étaient déjà négatifs avant le début de l’été ont de nouveau reculé, créant une situation inédite depuis 1974", souligne l’observatoire.
Néanmoins, ces chiffres s’entendent bruts : ils ne comprennent par exemple pas l’assurance des prêts, systématiquement demandée par l’organisme créancier.
Dans le détail, les taux se sont établis le mois dernier à 1,46% pour l’accessiondans le neuf, un recul, et 1,44% dans l’ancien, une stagnation.
De même que le niveau des taux de crédit immobilier, leur durée est restée stable. Après avoir augmenté les deux mois précédents, elle s’est maintenue à 225 mois en octobre.
La revalorisation des biens immobiliers détenus via les SCPI PERIAL pousse les prix des parts à la baisse.
Paref Gestion a tenu à rassurer les épargnants, les revalorisations des biens n’imposent pas de baisse des prix des parts.
Même la FNAIM, réputée pour sa vision optimiste du marché de l’immobilier, commence à dresser un tableau moins rose du marché.
Avec la hausse du coût de la vie, le paiement du loyer devient de plus en plus difficile pour près de 25% des locataires.
À Saint-Etienne, Marseille... les prix des locations meublées touristiques explosent. La coupe du monde de rugby en toile de fond.
Le leasing immobilier n’a rien de nouveau, mais reste peu répandu en France, son attrait peut apparaître comme limité.