Pierre et Vacances allonge la maturité de sa dette

Publié le mardi 4 février 2014 par FranceTransactions.com  à 0 h 0

Pierre et Vacances allonge la maturité de sa dette

Le groupe prévoit d’émettre des [a[obligations]a] à option de remboursement en numéraire et/ou en actions nouvelles et/ou existantes à échéance au 1er octobre 2019.

D’un montant initial de 100 millions d’euros, cette levée de fonds pourra atteindre environ 115 millions en cas de bon accueil des marchés, avec l’exercice en totalité de l’option de surallocation, a indiqué le groupe dans un communiqué.

La valeur nominale unitaire offrira une prime d’émission comprise entre 30% et 35% par rapport au cours de référence de l’action du groupe. A 9H10 (8H10 GMT), elle valait 27,84 euros (-0,75%) dans une [a[Bourse]a] de Paris en repli de 0,46%.

Cette émission "a pour objet le refinancement partiel de l’endettement existant de la société, en procédant principalement au [a[rachat]a] des obligations à option de conversion et/ou d’échange en actions nouvelles ou existantes" (Oceane) arrivant à échéance le 1er octobre 2015, a-t-il expliqué.

"Pour le solde éventuel, l’émission des obligations a pour objet de financer les besoins généraux de la société", a-t-il précisé.

Le montant en circulation de l’Oceane 2015 représente 115 millions d’euros, soit le montant initialement émis en 2011.

Selon le groupe, ces opérations entrent dans le cadre d’un accord avec ses banques datant du 23 janvier en vue du renouvellement pour cinq ans d’un crédit syndiqué de 190 millions d’euros conclu en 2010.

"La mise en place de ces nouveaux instruments de financement et l’allongement de la maturité moyenne de l’endettement du groupe donneront à [a[Pierre et Vacances]a] les moyens de son développement futur, en adéquation avec la stratégie exposée et le plan de croissance WIN 2016", a commenté Gérard Brémond, président du groupe, cité dans le communiqué.

Fin janvier, le groupe a annoncé une hausse de 9,7% de son chiffre d’affaires au premier trimestre de son exercice décalé à 263,7 millions d’euros, grâce à une reprise dans le tourisme et l’[a[immobilier]a].