
SCPI IROKO ATLAS : la nouvelle SCPI
Iroko a lancé la commercialisation de sa nouvelle SCPI ATLAS : une source d’opportunités d’investissements immobiliers hors de France, objectif de rendement de 7% brut sur 10 ans.
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D’après le site d’information, cinq adjoints du maire -dont deux élus PCF ou apparentés- occupent des appartements du parc social de la ville pour des loyers "deux, voire trois à quatre fois inférieurs au prix du marché", alors qu’environ 140.000 ménages sont demandeurs de logements sociaux à Paris.
Mediapart, qui cite aussi le cas d’une sixième adjointe occupant un logement de fonction dans une école dont elle n’est plus directrice depuis 10 ans, précise que ces élus sont rémunérés "environ 5.500 euros bruts par mois".
Le site souligne que leur situation n’est pas illégale et qu’ils vivaientdéjà dans ces logements avant l’élection de 2001 et l’obtention de leur mandat. Ce que le maire de Paris a aussi fait observer pour se défendre.
En outre, ajoute M. Delanoë dans un communiqué, "l’article évoque des situations très différentes qui ne doivent pas être amalgamées. Ces situations ne sont en rien illégales, elles ne sont le fruit d’aucun passe-droit".
Le maire a argué que depuis mars 2001, comme il s’y était engagé, "aucun logement social" n’a été attribué à un conseiller de Paris (au nombre de 163), quelle que soit sa situation, "rompant avec des pratiques qui avaient sali l’image de Paris".
Bertrand Delanoë a lui-même refusé "dès 2001" d’occuper un logement de fonction, rappelle-t-il, et "refusé que le maire deParis continue à attribuer personnellement des logements". "C’est une commission indépendante et pluraliste qui en est chargée, dans laquelle siègent des associations" et "les 55.000 logements attribués depuis 2001" l’ont été "dans des conditions clarifiées, équitables et transparentes".
Pour autant, même s’il existe "un droit de maintien" pour ces locataires, poursuit le maire, "j’appelle les élus comme les autres locataires du parc social à faire preuve de responsabilité dès que, leur situation matérielle s’étant améliorée, elle ne justifie plus l’occupation d’unlogement social dans la crise que nous traversons".
Il se dit favorable à une évolution de la loi vers une augmentation des "surloyers" imposés en cas de dépassement des plafonds de ressources du logement social.
En novembre, la candidate UMP à la mairie de Paris Nathalie Kosciusko-Morizet, confrontée à deux cas de ce type dans son camp, avait imposé à tous ses candidats "en position de devenir conseiller de Paris" de quitter leur logement social.
Iroko a lancé la commercialisation de sa nouvelle SCPI ATLAS : une source d’opportunités d’investissements immobiliers hors de France, objectif de rendement de 7% brut sur 10 ans.
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