PERIAL AM annonce de fortes chutes du prix de ses parts de SCPI
La revalorisation des biens immobiliers détenus via les SCPI PERIAL pousse les prix des parts à la baisse.
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Toutes durées confondues, les taux des prêts du secteur concurrentiel ont atteint 1,45% le mois dernier, contre 1,43% en août, rapporte l’observatoire de l’institut CSA et du Crédit Logement, organisme comprenant les principales banques françaises parmi ses actionnaires.
Ces chiffres s’entendent bruts : ils ne comprennent par exemple pas l’assurance des prêts, systématiquement demandée par l’organisme créancier.
"Les taux des crédits immobiliers sont stabilisés depuis juin dernier", résume l’observatoire dans la lignée de ses précédents rapports.
Il souligne que leur évolution récente s’inscrit dans un contexte de reprise de l’inflation : malgré un petit ralentissement en septembre, la hausse des prix se maintient nettement à plus de 2% sur un an.
"Les conditions de crédit restent excellentes : d’ailleurs les taux d’intérêt réels", c’est-à-dire en retraitant l’inflation,"n’ont jamais été aussi bas depuis le premier choc pétrolier", en 1973, souligne l’observatoire.
Dans l’ensemble, les conditions restent les mêmes que celles évoquées les précédents mois par cet organisme : les banques se font une vive concurrence sur les taux, un phénomène accentué par les opérations commerciales en période de rentrée, mais cela ne suffit pas à faire rebondir la demande face à des prix en hausse.
Dans le détail, les taux se sont établis le mois dernier à 1,49% pour l’accession dans le neuf, une hausse par rapport à août, et 1,44% dansl’ancien, un léger recul.
Alors que les taux sont normalement plus élevés quand un prêt est souscrit pour longtemps, leur remontée en septembre s’est accompagnée d’un allongement de leur durée moyenne : elle s’est établie à 225 mois, deux de plus qu’en août.
La revalorisation des biens immobiliers détenus via les SCPI PERIAL pousse les prix des parts à la baisse.
Paref Gestion a tenu à rassurer les épargnants, les revalorisations des biens n’imposent pas de baisse des prix des parts.
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