Achat immobilier : le viager libre, une alternative à découvrir
Le viager libre, une alternative immobilière qui offre des avantages aussi bien pour les acquéreurs que pour les propriétaires.
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En Ile-de-France, convaincus que les taux d’intérêt resteront durablement bas, les acheteurs prennent leur temps et ne se précipitent plus. Les incertitudes pesant sur la fiscalité immobilière, l’encadrement des loyers, les incitations ([a[Pinel]a], Prêt à taux zéro,…) encouragent les acheteurs à patienter et reporter leurs achats. La pause de la demande oriente légèrement les prix à la baisse en région parisienne : -0,1% à Paris, -0,3% en Petite Couronne, -0,1% en Grande Couronne.
Les prix des grandes villes de province restent plutôt orientés à la hausse à l’exception de Marseille, Strasbourg et Lille. MeilleursAgents.com analyse deux situations particulières :
– Bordeaux dont les prix se sont envolés de près de 17% en 12 mois.
– L’encadrement des loyers à Paris après l’annulation du
dispositif à Lille alors que 30% des annonces dépassent les prix autorisés dans la capitale.
Le mois d’octobre a confirmé la tendance de la rentrée. Les acheteurs ont décidé de prendre leur temps. Convaincus, à juste titre, que les taux d’intérêt resteront bas, les ménages à la recherche d’un logement préfèrent attendre que se précipiter. Les investisseurs marquent aussi une pause mais pour d’autres raisons. Les incertitudes pesant sur l’Impôt sur la Fortune Immobilière ([a[IFI]a]), l’encadrement des loyers à Paris et Lille et les dispositifs d’incitations fiscaux les encouragent à reporter leurs achats voire à s’intéresser à d’autres classes d’actifs.
La dynamique des prix s’en ressent.
A Paris, les prix moyens ont baissé de -0,1% en octobre (-0,2% sur les
petites surfaces – studio et deux pièces) alors que les appartements
de trois pièces et plus restaient stables.
En province, la dynamique des prix reste majoritairement haussière. Toulouse +0,2%, Montpellier +0,4%, Nantes +0,6%, Lyon +0,7%, Nice +0,9% et Bordeaux +1,4%. Seules Lille (-0,2%), Strasbourg (-0,5%) et Marseille (-0,8%) voient
leurs prix baisser. Il est vrai qu’à la différence de Paris, un ménage au revenu moyen bénéficie encore en province d’un bon pouvoir d’achat immobilier.
La hausse des prix à Bordeaux atteint 16,9% en un an. Le prix moyen du m2 dans l’ancien est de 3 600€ et peut atteindre 5 400€. Cette [a[inflation]a] galopante est indiscutablement due à des investisseurs très actifs qui, à eux seuls, génèrent 35% des nouvelles acquisitions. Contrairement à certains fantasmes de plus en plus répandus et souvent amplifiés, ces investisseurs ne sont que très minoritairement des parisiens attirés par de bonnes affaires bordelaises.
La réalité est plus simple : la ville et sa région sont attractives depuis de nombreuses années. Par ailleurs, l’ouverture de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) qui place désormais Bordeaux à 2 heures de la capitale vient encore renforcer cette attractivité mais seulement à la marge.
Cette situation commence à poser des problèmes d’accès au logement à cause de prix d’achat ou de location trop souvent dé-corrélés du pouvoir d’achat réel des ménages.
En effet, à ces prix, avec les salaires locaux, un ménage moyen de 2,5 personnes peut à peine s’offrir 37 m² contre 51 m² à Toulouse.
Le viager libre, une alternative immobilière qui offre des avantages aussi bien pour les acquéreurs que pour les propriétaires.
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