Vendre en nue-propriété : une démarche de plus en plus fréquente
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"C’est une piste de travail, du moment qu’on parle bien des résidences principales à un niveau très élevé", a déclaré sur France 2 le ministre, interrogé sur l’éventualité de taxer les plus-values à la revente de biens immobiliers.
Emmanuel Macron, le président de la République, a jugé le mois dernier, à l’occasion d’un débat public, "très bonne" l’idée de réguler les plus-values immobilières. Il a qualifié "d’injustice" le fait que des plus-values ne soient "pas taxées" lorsqu’elles suivent l’arrivée d’infrastructures comme la ligne à grande vitesse à Bordeaux.
Ces propos, sur lequel le président n’a pas donné plus de détails, semblent concerner les résidences principales, qui sont effectivement exonérées à la revente. Les autres biens bénéficient d’un abattement progressif en fonction de la durée de détention.
"Qu’on regarde pour les très gros biens immobiliers où visiblement il y a pu avoir un avantage qui peut être taxé, pourquoi pas ?", a déclaré M. Le Maire. "Mais faisons attention aux Français, aux contribuables, nous sommes là pour baisser les impôts", a-t-il nuancé.
"Les Français qui ont acheté une résidence principale 100.000, 150.000, 200.000 euros... Ils la revendent, ils font un bénéfice, on ne va pas taxer ce bénéfice", a-t-il détaillé, estimant que l’exonération était une "bonne chose" dans ce cas de figure.
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