Vendre en nue-propriété : une démarche de plus en plus fréquente
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
Publié le par à 0 h 0
Alors que l’inflation a déjà fait un retour gagnant, en affichant +2.30% en rythme annuel pour le mois de juillet, les taux des crédits immobiliers continuent leur baisse. Une situation irrationnelle à priori, mais expliquée par les efforts commerciaux des banques afin de capter de nouveaux clients, nerf de la guerre des grandes banques à réseaux. L’année 2019 étant attendue comme mois favorable pour le marché de l’immobilier avec la remontée inéluctable des taux d’intérêts. Avec ces conditions de marché exceptionnelles, les emprunteurs ne font pas pour autant de réelles bonnes affaires, emprunter à un taux inférieur à celui de l’inflation n’étant pas un gage d’opportunité d’affaire financière. Par ailleurs, avec ces conditions de taux si attractives, les emprunteurs s’embarquent sur des durées de crédit encore plus longues, augmentant du coup le coût de leur bien immobilier, déjà surévalué de près de 30%. Le réveil devrait être difficile...
Que ce soit auprès de CAFPI ou auprès d’autres courtiers en crédits immobiliers, même son de cloche, les taux sont de nouveau en baisse.
« Sur certaines durées, les meilleurs profils peuvent bénéficier de conditions d’emprunt très proches des records », indique Philippe Taboret, Directeur Général Adjoint de Cafpi. Le mois d’août laisse entrevoir une vraie reprise pour le second semestre 2018, les évolutions de la rentrée de septembre permettront de confirmer ou d’infirmer cette tendance.
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
L’ANAH a publié un bilan catastrophique pour ce 1er trimestre 2024 : seulement 4 % des objectifs de l’année 2024 sont atteints !
Déjà annoncé en février dernier, le plan social du premier promoteur de France, Nexity, est désormais dévoilé dans ses détails.
Comme l’an passé, Laforêt relance son opération Les Prix Bleus, pour tenter de séduire pour les acquéreurs.
Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.
L’Observatoire Crédit Logement / CSA a publié son analyse du marché concurrentiel des crédits immobiliers au premier trimestre 2024.