La crise immobilière n’est pas terminée
NOUVEAUTÉ !Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.
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Il s’agit de l’un des plus grands projets urbains que la France ait compté : avec 200 km de voies, le Grand Paris Express va changer la vie des franciliens, qui sont de plus en plus nombreux à vivre et travailler en banlieue. Un projet qui a également un impact direct sur les prix du marché immobilier.
– Que faut-il en attendre ?
Guy Hoquet a mené une étude dans ces secteurs d’avenir pour déterminer les villes sur lesquelles miser pour habiter, et investir. Focus sur les 6 villes, qui réunissent des atouts porteurs pour le marché, parmi les 72 qui vont accueillir une nouvelle gare.
Villiers sur Marne ou Bagneux, les villes les plus enclines à réaliser des plus-values élevées, compte-tenu de l’évolution du nombre de transactions et de la rentabilité actuelle des biens existants.
« Même si les prix de l’immobilier ne cessent d’augmenter depuis 10 ans à Paris et en périphérie, il s’agit d’une évolution à long terme. Qui pourrait néanmoins s’accélérer au fur et à mesure du démarrage des travaux. Et si depuis un an, les prix en Ile-de-France ont progressé lentement (de 0,8%, affichant une moyenne de 3 113 euros le m2 ), certaines communes ont vu sur cette même période leur marché prendre de la valeur beaucoup plus rapidement. Celles-là même qui disposent d’atouts non négligeables qui peuvent faire d’elles les futures gagnantes du Grand Paris. Parce que les travaux y sont déjà visibles, que les investisseurs ont déjà commencé à s’y intéresser, et que leurs prix sont encore abordables, ces villes représentent des possibilités intéressantes pour acquérir un bien dans le cadre d’un projet locatif, ou encore s’installer », observe Fabrice Abraham, Directeur Général du réseau Guy Hoquet l’Immobilier.
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